Ce samedi 3 avril, à l’invitation de l’Université de San Francisco, des centaines d’utilisateurs aguerris se sont réunis dans un vaste hall afin de relever un défi: interconnecter localement, en mode « grid » leurs PC -‘desktops’ ou portables- afin de rivaliser avec les performances d’un « super-ordinateur ». L’objectif était d’entrer dans la liste des 500 plus gros calculateurs au monde, sur la base d’un critère technique, objectif: parvenir à une puissance de traitement de 500 gigaflops/seconde. Mais, voilà: l’opération a échoué. Plus exactement, elle n’a pas été suffisamment performante. Car l’agrégation de près de 660 machines Au plus haut de l’activité de calcul enregistré, l’expérience test n’a pas permis de dépasser les 180 gigaflops/ seconde.
Les compétitions ‘flashmob’ Appelées « flahmobs », ces tentatives deviennent habituelles depuis quelques mois dans les communautés scientifiques aux Etats-Unis. Cette forme de compétition vise à montrer que le traitement de calculs « astronomiques » peut être assuré par la distribution des traitement sur des centaines voire des milliers d’ordinateurs « grand public ». Et donc, pour un coût très inférieur aux centaines de milliers de dollars que coûte un « supercomputer ». En théorie ces modes de traitement distribué ou parallèle, en réseau, pourraient trouver leur application dans les prévisions de météorologie ou des calculs de biologie, comme la détermination du génome humain.
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…