Les casinos battant pavillon de complaisance, comme les éditeurs de jeux d’argent en ligne, gagnent des sommes considérables qui leurs permettent d’investir énormément d’argent dans la publicité. Cible principale : les portails, les moteurs de recherche et leurs services de liens sponsorisés.
Mais voilà, la publicité en ligne pour les sites Web de jeux d’argent est interdite dans de nombreux états américains. Et en particulier en Californie, où Terminator?, pardon, le gouverneur Schwarzenegger a signé en juin dernier un accord d’exclusivité avec les tribus indiennes, moyennant une restitution de 15% des revenus des jeux aux communautés locales. Cette exclusivité, à l’image des accords du même type signés dans plusieurs états, se heurte à la pratique de la publicité en ligne, de même que les casinos en ligne juridiquement basés aux Bahamas ou dans une république bananière échappent à la taxe, ce qui n’est pas du goût des élus. Alors, comment concilier les accords locaux ou fédéraux, et les intérêts financiers des communautés, qu’elles soient urbaines ou indiennes ? En poursuivant auprès de la Cours supérieure de Californie les moteurs de recherche et portails Web qui affichent ces publicités illégales, afin d’obtenir une contrainte immédiate et permanente. Dans la ligne de mire du Terminator : Yahoo!, Google, Overture, AltaVista, Lycos, Ask Jeeves, Looksmart, Cent, Jupitermedia, FindWhat, Kanoodle, Business.com et Sex.com.
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