AT&T
Ironie de l’histoire. En 1984 le géant des télécommunications américain AT&T est démembré afin de suivre la législation anti-trust et donne naissance à une multitude de petits opérateurs: les baby-bell. Aujourd’hui, une de ces baby-bell, Bell South, pourrait bien fusionner avec son ancienne maison mère selon des informations du
Wall street Journal. Il faut dire que ces opérateurs pèsent aujourd’hui beaucoup plus lourds que AT&T en termes financiers. Avec une capitalisation boursière de 15,1 milliards de dollars, le premier opérateur longue distance américain AT&T est considéré par les spécialistes du secteur comme une proie potentielle. A en croire le quotidien éconmique, les discussions entre les deux opérateurs auraient repris sur le sujet après une interruption il y a deux mois. Cependant, à ce stade, un accord apparait encore incertain. Si un compromis était trouvé entre les deux parties, le groupe issu de ce mariage prendra le nom d’AT&T bien que sur le papier ce sont les actionnaires de Bell South qui seront majoritaires dans la mesure où leur groupe capitalise trois fois leur ex-maison mère AT&T.
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