Pour Jean-Yves Pronier, d’EMC, le Big Data tire parti de la croissance importante du volume des données, qui amène des informations ‘comestibles’ par les entreprises. Il s’agit de tirer parti du flux des données pour rendre l’entreprise plus performante, affiner des corrélations ou des analyses afin d’orienter vers de nouvelles directions business, et de permettre des prises de décisions plus fines et importantes avec un niveau de temps réel qui n’existait pas auparavant.
La croissance des données a un impact sur le stockage, sur l’analytique avec la donnée non structurée comme gisement d’information au-delà des outils de BI traditionnels, et face aux métiers d’irriguer les personnes qui prennent des décisions dans une vision BPM (Business Process Management) analysée en temps réel.
Jean-Yves PRONIER, EMC : « 90% des nouvelles données sont non structurées »
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