« Le groupe entame une seconde phase, très stratégique. Il s’agit de définir ce que sera le groupe demain », explique à la TribuneHenri Richard, en charge de la direction des ventes et du marketing de Freescale. C’est donc l’heure des questions pour l’ancienne division semi-conducteurs de Motorola.
Il faut dire que l’année 2007 a été plutôt chahutée pour le groupe. Racheté par les fonds Carlyle, Permira et TPG pour plus de 17 milliards de dollars, le fondeur a rompu son alliance avec NXP (Crolles 2) à Grenoble. Il a par ailleurs subi de plein fouet les difficultés de Motorola dont les commandes représentent encore 25% de l’activité.
Freescale avance donc deux mots d’ordre : diversification et émancipation. « Les difficultés dues à Motorola renforcent notre volonté d’émancipation et mettent l’accent sur la nécessité d’accélérer notre diversification »,précise au quotidien Michel Meyer, p-dg du fondeur.
Le groupe mise ainsi sur le secteur du sans-fil avec l’objectif d’augmenter la part de clients spécialisés comme RIM (le fabricant du Blackberry) et sur celui de l’automobile et du grand public. « Ce secteur explose, nous ne pouvons pas en être absent. Quant à l’automobile, le seul moyen d’en tirer profit est de sortir de l’électronique traditionnelle », ajoute Henri Richard.
D'AgentJ à YesWiki, voici les dernières entrées au SILL (Socle interministériel de logiciels libres).
En parallèle de diverses expérimentations, Microsoft livre une première version de WSL2 basée sur Linux…
Le dernier rapport environnemental de Google comporte peu d'indicateurs spécifiques à l'IA. Quelles perspectives l'entreprise…
Booster les performances des forces de vente en fondant les processus commerciaux sur ce que…
Respectivement DG et CTO de Red Hat France, Rémy Mandon et David Szegedi évoquent le…
Canonical formalise un service de conception de conteneurs minimalistes et y associe des engagements de…