Joe Gordon, employé de la librairie Waterstone’s d’Edimbourg, a été licencié pour faute grave. Son employeur lui reproche d’avoir tenu sur son ‘blog’ des propos qui discréditaient l’entreprise.
Les ‘weblogs’ ou ‘blogs’, avec leur forme la plus personnelle, des journaux intimes ?privés mais ouverts à certains publics ? ne font théoriquement l’objet d’aucune censure ou restriction. Mais l’affaire Joe Gordon rappelle les limites du « domaine privé » lorsqu’il devient accessible au public, même avec des restrictions -ce qui est le cas des blogs. Ainsi, parodier son entreprise en termes fort peu élogieux, ‘Barstarstone’s‘ pour la désigner et ‘Evil Boss‘ pour évoquer son patron ou encore parler de ‘l’esclavage‘ des employés, voilà qui peut être assimilé à de la diffamation, donc passible de peines. Il est vrai que la multiplication des ‘blogs’ est potentiellement une porte ouverte à tous les excès. On peut soutenir qu’Internet est encore un espace de liberté et que les blogs contribuent à ce souffle de libre expression. Mais cela ne peut pas autoriser à tout publier!
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