Red Hat a mis à profit son portefeuille de technologies open source (distribution Linux, hyperviseur KVM, etc.) pour son offre Red Hat Enterprise Virtualization, laquelle est maintenant disponible en mouture bêta. Cette solution est un pavé dans la marre des autres plates-formes de virtualisation professionnelles.
Le succès semble se placer au-delà des espérances de la firme, comme le confirme Scott Crenshaw, vice-président de la division des plates-formes de Red Hat, qui déclare que « la version bêta de notre programme génère plus de demandes d’abonnements que prévu ».
Red Hat pousse par ailleurs les fabricants de matériel et les éditeurs de logiciels indépendants à certifier leurs solutions pour cette nouvelle offre. Les ISV (Independent Software Vendor) n’auront plus qu’à certifier leurs produits pour la seule plate-forme Red Hat Enterprise Virtualization. Plus besoin donc d’effectuer cette opération machine par machine. De la même façon, les OEM (Original Equipment Manufacturer) n’auront plus qu’à certifier leur matériel pour la solution de Red Hat, sans s’occuper des logiciels tiers. La virtualisation est donc ici d’une importance stratégique.
« Nous nous réjouissons de pouvoir fournir un portefeuille de virtualisation complet, flexible et néanmoins abordable, dont les produits bénéficieront tous d’une même certification matérielle et logicielle », conclut Scott Crenshaw.
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