Electronic Arts, numéro un mondial des jeux vidéo, a créé la surprise en prenant pied le 20 décembre chez le numéro un européen Ubi Soft, par l’acquisition de manière inattendue d’une participation de 20% dans le capital de ce dernier.
L’éditeur cherche depuis à contrer ce qu’il prend pour une entrée hostile dans son capital. Ubi Soft est devenu au fil des années un acteur incontournable sur le marché européen des jeux vidéo, et dispose d’un catalogue qui recèle des titres enviés. De son côté, Vivendi Universal, autre acteur mondial des jeux vidéo avec sa filiale VU Games, a toujours affirmé son intérêt pour cette activité, dont le marché aujourd’hui dépasse largement celui du cinéma. Le quotidien L’Agefi évoque des ‘contacts préliminaire‘ entre VU et Ubi Soft en vue d’un éventuel rapprochement. Vivendi Universal faisant figure de chevalier blanc au secours d’Ubi Soft ! L’idée n’est pas si saugrenue. L’implantation de VU Games est américaine, celle d’Ubi Soft européenne. Tous deux disposent de catalogues où les licences peuvent se compléter. Et les deux firmes sont françaises, ce qui ne gâche rien. Et puis, leader incontesté du marché du jeu vidéo, Electronic Arts reste l’ennemi à abattre !
Une mise à jour de l'EDR Crowdstrike Falcon a planté une multitude de serveurs et…
Un modèle GPT-4o mini rejoint le catalogue d'OpenAI. De la conception à l'évaluation, il a…
La Cour des comptes appelle à formaliser et à professionnaliser certains aspects du RIE, tout…
La Cour des comptes attire l'attention sur le risque d'affaiblissement d'Etalab, privé, ces dernières années,…
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…