L’opérateur britannique pouvait exercer son option de vente et encaisser dix milliards de dollars. Seulement, Verizon étant valorisé à plus de 45 milliards de dollars, le groupe n’a pas souhaité exercer ce droit.
Les actionnaires de Vodafone estiment que la valeur de Verizon Wireless ne se reflète pas dans son cours de Bourse actuel. Du coup, ils préfèrent garder leurs parts car les perspectives de croissance de Verizon sont bonnes.
Signalons qu’au grand damn des actionnaires, la participation de Vodafone n’a contribué à aucun dividende depuis 2005. Et il n’est pas prévu d’en verser avant 2009.
Les analystes remarquent que toute vente partielle de la part détenue dans Verizon augmenterait la probabilité d’une cession totale aux yeux du marché, et abandonnerait la valorisation de cette part aux mains de banques d’investissement indépendantes, ce qui réduirait le pouvoir de négociation de Vodafone.
Interrogé par Reuters, le dg de Vodafone, Arun Sarin, n’écarte pas la possibilité d’une vente: « Toutes les options sont à l’étude ».
Verizon Communications, deuxième opérateur américain de télécoms, n’a jamais caché son intérêt pour le rachat de la part de Vodafone.
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