Le W3C pousse les industriels à voir dans les technologies du web plus qu’un simple moyen de diffusion de l’information. Avec des standards émergents comme l’HTML5, le web est en effet en mesure de servir de base pour la livraison de services évolués, par le biais d’applications toujours plus complexes. De plus, cette offre se veut par essence ouverte, contrairement aux technologies Flash, Silverlight et Java, qui sont loin d’être des standards ouverts.
« Dans un nombre croissant de secteurs, dont le monde mobile, la télévision, l’édition et la publicité, la plate-forme web ouverte du W3C apparaît comme le support privilégié pour la livraison de services et le développement d’applications enrichies », confirme le docteur Jeff Jaffe, CEO du W3C.
Les efforts du W3C semblent porter leurs fruits. Ainsi, au cours des douze derniers mois, pas moins de 39 organisations ont rejoint le consortium pour soutenir cette plate-forme ouverte. Certains grands noms comme China Unicom, Comcast, Facebook, LG Electronics, NEC Corporation, Netflix, SanDisk, Sony et Zynga sont de la partie. « Nous sommes ravis d’accueillir de nouveaux adhérents dont l’expertise sera précieuse pour résoudre la prochaine génération de défis techniques sur le web », se félicite Jeff Jaffe.
Notez que parmi les sujets cités par le W3C et ses sympathisants, celui du rapprochement entre la télévision et le web est mentionné de multiples fois, ce qui est plutôt de bon augure.
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