Hébergement Web : 1&1 réinvente le mutualisé
Au fil des ans, le mutualisé est devenu le parent pauvre de l'hébergement web. En particulier chez les grands noms du secteur (OVH, Online et 1&1) où ce type d'offre est trop souvent vu uniquement comme un produit d'appel.
1&1 Internet souhaite aujourd'hui corriger le tir avec une nouvelle gamme d'hébergement web mutualisé, sur base Windows ou Linux.
2 Go, CDN, safe / free
Première avancée, la garantie pour chaque compte Unlimited Plus de disposer de 2 Go de RAM. Une quantité de mémoire vive suffisante pour les CMS et les outils d'e-commerce les plus courants.
Autre amélioration, l'intégration d'un CDN (Content Delivery Network) aux comptes Unlimited, lequel met en cache le contenu statique des sites Internet sur 23 points de présence mondiaux, réduisant ainsi d'autant la charge du serveur web et le temps d'acheminement des données.
Dernière nouveauté, la présence de deux modes d'installation pour les applications : le « safe mode », où les modules sont mis à jour en direct par l'hébergeur, et le « free mode », où le choix des mises à jour à appliquer est laissé à la discrétion des webmasters. Pratique pour se laisser le temps d'adapter le code source d'un outil maison, par exemple une extension WordPress.
Voici les différentes offres proposées par l'hébergeur :
- Starter : 10 Go d'espace disque, Linux seulement, 2,99 euros HT par mois (promotion à 0,99 euro) ;
- Basic : 50 Go d'espace disque, jusqu'à 140 applications, Linux ou Windows, 4,99 euros HT par mois (promotion à 2,99 euros) ;
- Unlimited : espace disque illimité, jusqu'à 140 applications, CDN, Linux ou Windows, 6,99 euros HT par mois (promotion à 4,99 euros) ;
- Unlimited Plus : espace disque illimité, jusqu'à 140 applications, CDN, 2 Go RAM garantis, Linux ou Windows, 12,99 euros HT par mois (promotion à 6,99 euros) ;
Des noms de domaine à foison
Notez que 1&1 Internet devient également bureau d'enregistrement des nouveaux domaines de premier niveau. Ceci permet à l'hébergeur de proposer plus de 700 nouvelles extensions de noms de domaine à ses clients.
Nous y retrouvons des extensions comme « .paris » ou « .boutique ».
Crédit photo : © Guy Erwood - Fotolia.com
Voir aussi
Dossier : datacenter en région, l'aventure Neoclyde à Besançon
Sur le même thème
Voir tous les articles Open source