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AWS Auto Scaling: le dimensionnement unifié des apps dans le cloud

Publié par La rédaction le | Mis à jour le

AWS enrichit sa fonction Auto Scaling (mise à l'échelle automatique) qui permet désormais de superviser un ensemble de déploiements d'apps dans le cloud.

L'évolution d'AWS Auto Scaling devrait attirer l'attention des équipes de développeurs.

Dorénavant, sur la plateforme cloud, elles peuvent configurer la mise à l'échelle automatique sur un ensemble de fonctionnalités d'Amazon Web Services mises en place pour un bouquet d'apps dans le cloud depuis une seule interface fédératrice.

La mise à l'échelle automatique s'effectue en effet via un navigateur Internet ou la ligne de commande.

Traditionnellement, la fonction Auto Scaling permet de maintenir la disponibilité d'une application et d'augmenter ou diminuer « dynamiquement et automatiquement » la capacité de calcul (Amazon EC2).

AWS AutoScaling se traduit par un ensemble d'options de mise à l'échelle automatique. Il offre un moyen d'équilibrer les coûts et les dimensionnements.

Concrètement, lorsqu'un seuil de mise à l'échelle donné sera programmé, AWS AutoScaling va créer un ensemble de stratégies de mise à l'échelle.

« Vous n'avez plus besoin de configurer des alertes et des actions de mise à l'échelle pour chaque ressource et chaque service », décrit Jeff Barr, Chief Evangelist pour AWS, dans un billet de blog.

« Au lieu de cela, vous pointez simplement AWS Auto Scaling sur votre application et sélectionnez les services et ressources d'intérêt. Ensuite, vous sélectionnez l'option de mise à l'échelle souhaitée pour chacun, et AWS AutoScaling fera le reste, vous aidant à découvrir les ressources évolutives et ensuite à établir un plan de mise à l'échelle en fonction de vos ressources de prédilection. »

 

Cette nouvelle fonctionnalité est disponible immédiatement dans certaines zones géographiques aux Etats-Unis mais aussi l'Irlande et Singapour (zone Asie-Pacifique).

 

Ce type de fonction « autoscaling » est pratique pour la gestion des ressources cloud exploitées est mise en place par l'ensemble des grands acteurs du marché.

Microsoft l'avait inséré sur Azure à  partir de juin 2013. Google a suivi en novembre 2014 en l'adaptant à Google Compute Engine en mode bêta public.

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