Gateway eMachines présente une nouvelle gamme de PC ultra-économiques
Publié par David Feugey le | Mis à jour le
Les nouvelles configurations d'eMachines de Gateway disposent d'un prix d'appel de seulement 300 dollars, licence de Windows Vista comprise !
Les eMachines de Gateway (une filiale d'Acer) sont des PC fixes ou portables, économiques et populaires. La compagnie dévoile aujourd'hui trois nouvelles configurations de bureau.
Avec l'eMachines ET1810-01, le constructeur propose un prix de 299,99 dollars HT soit environ 256,64 euros TTC. Ce PC est architecturé autour d'un processeur monocoeur Intel Celeron 420 cadencé à 1,6 GHz, épaulé par 2 Go de mémoire vive, un disque dur de 160 Go et un graveur de DVD±RW compatible double couche. Le tout est livré avec une licence de Windows Vista Édition Familiale Basique.
L'eMachines ET1810-03 est accessible pour 369,99 dollars HT soit environ 316,59 euros TTC. Vous passerez ici à un processeur double coeur Intel Pentium E2210 cadencé à 2,2 GHz, assisté de 3 Go de mémoire, d'un disque dur de 320 Go et d'un graveur de DVD±RW compatible double couche. Cette fois-ci, la machine est livrée avec une licence de Windows Vista Édition Familiale Premium.
Dans les deux cas, un écran panoramique d'une diagonale de 18,5 pouces (résolution de 1366 x 768 points) est accessible en option au prix de 129,99 dollars HT soit 111,30 euros TTC.
Dernière offre, l'eMachines ET1300-02 réunit une unité centrale et l'écran de 18,5 pouces, pour un prix total de 449,99 dollars HT soit environ 385,15 euros TTC. Le PC profitera de la puissance d'un processeur bicoeur AMD Athlon X2 4850e cadencé à 2,5 GHz, de 3 Go de DDR2, d'un disque dur de 160 Go et d'un graveur de DVD±RW compatible double couche. Là encore, c'est Windows Vista Édition Familiale Premium qui est aux commandes.
Difficile de savoir si ces configurations, qui sont aujourd'hui disponibles aux États-Unis, toucheront les côtes européennes. C'est toutefois probable, les PC portables du constructeur étant très bien distribués en France. Ces machines pourraient donc débarquer dans notre contrée, dès la rentrée. Les nettops n'ont qu'à bien se tenir.