Recherche

La v1 d'Azure Virtual Desktop s'éteindra dans trois ans

Microsoft décommissionnera la version « classique » d'Azure Virtual Desktop le 30 septembre 2026. Les plus gros groupes d'applications ne pourront pas migrer.

Publié par le - mis à jour à
Lecture
2 min
  • Imprimer
La v1 d'Azure Virtual Desktop s'éteindra dans trois ans

La version « classique » d'Azure Virtual Desktop a désormais une date de fin de vie. Ce sera le 30 septembre 2026.

En l'état, le service ne permet plus de créer de locataires. Microsoft fait toutefois une exception pour quiconque en gère de multiples. Ainsi que pour les déploiements de plus de 500 groupes d'applications. Ces derniers ne peuvent effectivement pas migrer vers le « nouvel » AVD sans un redimensionnement.

Les ressources existantes seront supportées jusqu'à la fin de vie d'AVD « classique ».  La migration manuelle est recommandée pour les environnements de test, les petits environnements de prod et ceux facilement réplicables (par exemple, ceux qui exploitent les images de VM que fournit Microsoft).

Le « nouvel » Azure Virtual Desktop a l'avantage d'être intégré à Azure. Tout objet (locataire, pool, groupe d'applications, hôte de session...) peut donc être géré depuis le portail. Cette intégration permet aussi d'exploiter des briques telles qu'Azure RBAC et Log Analytics.

D'autres services Azure sont censés arriver bientôt en fin de vie. Fin octobre, c'en sera terminé de CentOS dans le choix des VM data science. À la même échéance, il faudra dire au revoir à l'ancien portail développeurs dans Azure API Management. La migration automatisée vers le nouveau n'est pas possible. Il faut recréer manuellement le contenu et personnaliser l'apparence.

À consulter en complément :

VDI : comment Michelin a sécurisé son infrastructure
DaaS : un marché qui échappe encore au multicloud
SSO et passwordless à l'expérimentation sur Azure Virtual Desktop

Illustration © VICHIZH - Adobe Stock

Sur le même thème

Voir tous les articles Cloud

Livres Blancs #cloud

Voir tous les livres blancs
S'abonner
au magazine
Se connecter
Retour haut de page