Nokia ajoute la 3D à ses cartes Ovi Maps
A l'occasion de la conférence Where 2.0 de Santa, Nokia vient d'annoncer une nouvelle fonctionnalité pour son offre de cartes routières. Ovi Maps s'enrichit ainsi de la 3D. Celle-ci se distingue de la concurrence (Google Maps/Earth principalement) par un rendu photoréaliste qui se veut fidèle à la réalité tout en autorisant une navigation virtuelle entre les rues des cités.
Dans les faits, nos brefs essais (notamment sur la Sagrada Familia à Barcelone) montrent que des progrès restent à faire pour atteindre l'hyper réalisme évoqué. De plus, le calcul du rendu nécessite une certaine puissance qui se fait sentir par quelques longues secondes d'attente sur les machines vieillissantes. C'est probablement pour cette raison que le service n'est, pour l'heure, accessible uniquement dans sa version web et non sur les mobiles du constructeur finlandais.
Barcelone, Madrid, Las Vegas, Venise, Oslo, Londres. Seule une vingtaine de villes sont aujourd'hui disponibles en rendu 3D. Un groupe qui devrait s'élargir au fil des mois et inclura peut-être Paris qui brille par son absence (comme toutes les autres villes françaises) de l'offre de Nokia. D'autre part, la navigation 3D nécessite l'installation d'un plugin sur le navigateur. Ce qui, au-delà d'un premier plantage, n'a pas posé de problème particulier sous Firefox 4 au cours de nos essais.
« Les modèles 3D photoréalistes des métropoles pour Ovi Cartes représentent un pas significatif vers notre vision d'unifier monde réel et univers virtuel, utilisant nos services de géolocalisation comme ciment », déclare Michael Halbherr, vice-président directeur Nokia. « Avec Ovi Cartes sur le mobile, Nokia a montré son habilité à transformer une fonction utile en un service de masse prisé des utilisateurs qui pose les bases de services basés sur la localisation qui iront bien au-delà de la navigation GPS. En déployant ses services sur le web, Nokia prouve qu'il offre un service holistique », renchérit Daryl Chiam analyste principal chez Canalys.
<p>A l'occasion de la conférence Where 2.0 de Santa, Nokia vient d'annoncer une nouvelle fonctionnalité pour son offre de cartes routières. Ovi Maps s'enrichit ainsi de la 3D. Celle-ci se distingue de la concurrence (Google Maps/Earth principalement) par un rendu photoréaliste qui se veut fidèle à la réalité tout en autorisant une navigation virtuelle entre les rues des cités.</p>
<p>Dans les faits, nos brefs essais (notamment sur la Sagrada Familia à Barcelone) montrent que des progrès restent à faire pour atteindre l'hyper réalisme évoqué. De plus, le calcul du rendu nécessite une certaine puissance qui se fait sentir par quelques longues secondes sur les machines vieillissantes. C'est probablement pour cette raison que le service n'est, pour l'heure, accessible uniquement dans sa <a target= »_blank » href= »https://maps.ovi.com/3d/ »>version web</a> et non sur les mobiles du constructeur finlandais. </p>
<p>Barcelone, Madrid, Las Vegas, Venise, Oslo, Londres... Seule une vingtaine de villes sont aujourd'hui disponible en rendu 3D. Un groupe qui devrait s'élargir au fil des mois et inclura peut-être Paris qui brille par son absence (comme toutes les autres villes françaises) de l'offre de Nokia. D'autre part, la navigation 3D nécessite l'installation d'un plugin sur le navigateur. Ce qui, au-delà d'un premier plantage, n'a pas posé de problème particulier sous Firefox 4 au cours de nos essais.</p>
<p><em>« Les modèles 3D photoréalistes des métropoles pour Ovi Cartes représentent un pas significatif vers notre vision d'unifier monde réel et univers virtuel, utilisant nos services de géolocalisation comme ciment »</em>, déclare Michael Halbherr, vice-président directeur Nokia. <em>« Avec Ovi Cartes sur le mobile, Nokia a montré son habilité à transformer une fonction utile en un service de masse prisé des utilisateurs qui pose les bases de services basés sur la localisation qui iront bien au-delà de la navigation GPS. En déployant ses services sur le web, Nokia prouve qu'il offre un service holistique »</em>, renchérit Daryl Chiam analyste principal chez Canalys.</p>
Sur le même thème
Voir tous les articles Cloud