Secure Computing plaide pour la sécurisation des messageries
Comme souvent, les études révèlent les mauvais élèves et mettent en avant les solutions des éditeurs.. C'est le cas du rapport IDC sur les fuites de données par les messageries. 100 professionnels ont été interrogés quant à leurs méthodes de sécurisation de leurs comptes.
Il se révèle que 72% d'entre eux avouent ne pas disposer d'outils véritables contre la fuite de données via e-mail. Plus cinglant encore, 89% d'entre eux n'ont pas de solution anti-spam performante.
L'étude tire donc un premier bilan : « seule une petite proportion d'entreprises est protégée. Actuellement, beaucoup de ces entreprises s'appuient sur des technologies vieillissantes, incapables de faire face à la recrudescence actuelle des attaques de spam et aux technologies toujours plus sophistiquées utilisées« .
C'est dans un contexte d'accroissement du nombre de messages non-sollicités que Secure Computing lance son initiative STAMP (Seven Technologies for Advanced Mail Protection). L'éditeur propose 7 technologies de protection pour les environnements de messagerie.
Partant du principe que les solutions anti-spam de pointe peuvent bloquer jusqu'à 99% des messages, Secure Computing affirme avoir identifié l'architecture nécessaire pour lutter efficacement contre la fuite de données.
Les 7 points tournent autour de la notion de sécurité de la messagerie en temps réel, avec une bande passante réduite, une protection dite multi-tiers face aux menaces entrantes incluant une intelligence mondiale. Une détection complète des contenus, un chiffrement robuste. Mais aussi une architecture appelée hybride dans le sens où elle permet de choisir ou de combiner des solutions sur site, hébergées ou virtualisées.
Autant de mesures qui combinées peuvent donner lieu à un éventail de bonnes pratiques pour se préserver des messages étrangers impromptus. La meilleure défense à toute infection restant cependant la plus grande vigilance.
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