Synthèse estivale 2011 : une virtualisation très active
Parce que la virtualisation n'est pas le cloud (et réciproquement), Silicon.fr accorde à chacun sa propre synthèse.
Succès et déboires de la virtualisation
Pour commencer, un point d'étape avec deux études qui illustrent à la fois le succès de ces technologies et le désenchantement des entreprises face aux promesses parfois un peu trop belles. Ainsi, grâce à V-Index qui permet d'évaluer le taux de pénétration de la virtualisation au sein des entreprises, on constate que près de 40 % des serveurs d'entreprise sont virtualisés, et essentiellement sous VMware.
Toutefois, une étude commanditée par CA technologies montre que 63 % des managers IT se disent déçus du coût du déploiement de la virtualisation. Économiser et rationaliser a-t-il encore du sens si cela complexifie l'ensemble et devient cher à administrer ?
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VMware très en forme. Trop gourmand ?.
Pour les annonces estivales, honneur au leader. Eh oui, bel été pour EMC et ses filiales. 63 % des managers IT se disent déçus du coût du déploiement de la virtualisation avec de nombreux nouveaux outils. Cependant, l'éditeur profite aussi des beaux jours pour revoir à la hausse ses licences vSphere 5. Un surcoût qui ne va pas plaire aux entreprises, en partie déjà déçues par les retombées de la virtualisation. Mais ont-elles réellement le choix ? Pour le choix de l'éditeur, certainement.
Lors de son événement annuel aux États-Unis, VMware a annoncé
. et des concurrents à l'affût
Bien entendu, les concurrents restent attentifs et surtout très actifs. Ainsi, Citrix profite de VMworld pour égratigner VMware sur le prix de vCloud Director, en proposant
De son côté, Oracle affirme que sa solution de virtualisation et de gestion de serveurs
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