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Transformation digitale et écologique en temps de crise : et si la solution venait du manager de transition ?

Publié par Brand Voice le | Mis à jour le

Selon un récent rapport d'Accenture, publié au cours du mois de janvier, à l'occasion du Forum de Davos, ce sont les entreprises les plus impliquées dans leur transition numérique et écologique qui devraient le moins souffrir de la crise sanitaire et économique liée à la COVID-19.

Des entreprises face à l'impératif du changement

La pandémie mondiale de la COVID-19 aura considérablement impacté les différents secteurs d'activité, provoquant des pertes parfois sans précédent, même parmi les entreprises les plus robustes. Dans son rapport de janvier 2021, l'entreprise internationale de conseil et de technologies Accenture offre des perspectives plutôt encourageantes aux acteurs qui ont fait ou feront le choix de renforcer leur transition numérique et écologique.

Publiée lors de la 51e édition du Forum de Davos, événement économique réunissant des participants du monde entier, organisé cette année à distance, l'étude d'Accenture met en exergue plusieurs éléments importants :

  • Près de la moitié (49 %) des entreprises européennes ont enregistré une baisse de leur chiffre d'affaires ou de leurs bénéfices au cours des 12 derniers mois. Par ailleurs, ces mêmes entreprises n'envisagent aucune amélioration pendant les 12 prochains mois.
  • Un cinquième (19 %) des entreprises, qui ont enregistré de très bonnes performances avant le début de la pandémie, s'attendent à une croissance négative de leur chiffre d'affaires ou de leurs bénéfices durant les 12 prochains mois. Qualifiés d' « anges déchus » par l'étude, on y retrouve surtout des entités évoluant dans les domaines de la vente au détail ; les marchés de capitaux ; l'énergie ; les ressources naturelles ; l'industrie automobile ; le secteur aérien, les voyages et les transports.
  • Un tiers (32 %) des entreprises, qualifiées de « leaders de demain » dans le rapport, prévoient une croissance rentable dans les 12 mois à venir. Les principaux domaines concernés sont la santé ; pharmaceutique, biotechnologie, sciences de la vie ; logiciels et plateformes ; communication et médias ; biens de consommation et services ; nouvelles technologies.
  • Par ailleurs, 45 % des entreprises européennes disent mettre la transformation digitale et la soutenabilité environnementale au coeur de leurs priorités. En poursuivant cette double articulation, les entreprises les plus agiles auraient ainsi 2,5 fois plus de chance de faire partie des leaders de demain, selon Accenture. De quoi donner matière à réfléchir à certains dirigeants qui freinaient jusqu'à présent des quatre fers pour ne pas s'aventurer sur cette voie qui semble pourtant de plus en plus incontournable.

    Une ressource ultra-qualifiée au service de la transformation des entreprises

    Mobilisant de nombreuses expertises différentes, ce vaste chantier, dans lequel se sont déjà engagées les organisations les plus à l'avant-garde de leur secteur, implique une réinvention profonde de l'entreprise, de son mode d'organisation jusqu'au rôle qu'elle occupe au sein de la société. C'est dans ce contexte singulier que le manager de transition peut faire toute la différence !

    Solution née dans les années 1970 aux États-Unis, le management de transition permet à une entreprise de bénéficier de façon ponctuelle, pendant une durée variable selon la nature de la mission, d'une ressource extérieure ultra-qualifiée et immédiatement opérationnelle. Très expérimenté, car ayant déjà occupé plusieurs postes importants au sein de plusieurs entreprises, le manager de transition aide les donneurs d'ordres à résoudre leurs diverses problématiques, même les plus complexes.

    Dans un contexte inédit de crise sanitaire mondiale, face à la nécessité de mêler la question écologique à la transformation numérique, qui de mieux qu'un professionnel rompu à la gestion des situations urgentes et délicates pour porter un projet qui engage non seulement la santé financière des entreprises, mais aussi le destin de notre société, dans sa globalité ?