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Gmail Android : le e-paiement, Dun & Bradstreet piraté, Open dans le vert

Selon une étude, les voyageurs de la SNCF perdent 2 milliards de minutes chaque année. Soyez plus rapide à lire les télégrammes du soir.

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Gmail Android : le e-paiement, Dun & Bradstreet piraté, Open dans le vert

Gmail sur Android s'ouvre au paiement mobile. Il est désormais possible de transférer de l'argent à n'importe qui via l'application mobile de messagerie de Google. Quelle que soit son adresse e-mail. Il suffit que la personne émettrice dispose d'un compte Google Wallet (porte-monnaie électronique). Ce service de e-paiement, explique ITespresso, n'est disponible qu'aux Etats-Unis en l'état actuel. « Le transfert d'argent dans Gmail est aussi simple que d'envoyer toute autre pièce jointe », assure le groupe de Mountain View. Il suffit de taper sur l'icône en forme de trombone et de choisir entre deux options : envoyer de l'argent ou solliciter la réception d'un montant d'argent. Tout se fait depuis l'interface du service de Webmail, sans application tierce.

Une base de données volée compromet 33 millions de salariés américains. Selon nos confrères de ZDnet, une gigantesque base de données commerciales de Dun & Bradstreet a été piratée. D'une taille de 52 Go, elle comprend 33,7 millions d'adresses uniques et d'autres informations de contacts de salariés américains issus de milliers de sociétés. Au total, la base contient une douzaine de champs comme le nom, la fonction, l'adresse mail professionnelle et le numéro de téléphone. D'autres entrées permettent à des fournisseurs de cibler des clients en fonction des secteurs. Une base qualifiée de ce type peut se vendre près de 200 000 dollars pour une cible de 500 000 personnes. Le spécialiste Trou Hunt a eu la base de données en question entre les mains et a constaté qu'AT&T, Boeing, Dell, FedEx, IBM et Xerox figuraient parmi les entreprises les plus citées, avec des milliers de personnes référencées.

Groupe Open en croissance de 8 % en 2016. Le contexte actuel, avec de grands groupes qui veulent continuer à référencer leurs prestataires mais entendent aussi travailler avec les principes de l'agilité, est porteur pour les SSII de taille moyenne. Comme en témoignent les résultats de Groupe Open. A 305 M?, le chiffre d'affaires progresse de 8 % en un an, dont 6 % en organique. Surtout, portée par le vaisseau amiral français, la SSII dirigée par Guy Mamou-Mani et Frédéric Sebag voit sa profitabilité bondir, la marge progressant de 1 point en un an, à 7,1 %. Celle-ci reste toutefois inférieure à celle d'autres SSII du secteur, qui connaissent presque toutes une embellie de leur profitabilité. Groupe Open enregistre pour 2016 un bénéfice de 11,7 M?, en progression d'un tiers sur un an. Si les principaux indicateurs sont donc au vert, la société enregistre une contre-performance hors de nos frontières, avec un chiffre en recul de 5 % sur un an. Groupe Open reste faiblement internationalisé, avec seulement 8 % du chiffre d'affaires réalisé hors de France, principalement en Belgique et aux Pays-Bas. Pour 2020, la SSII vise un chiffre d'affaires supérieure à 500 M?, pour une marge dépassant les 10 %.

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