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IT hybride : Centreon anticipe un équilibre entre Cloud et On-Premise
Malgré l'accélération des migrations vers le Cloud, la DSI doit surveiller des infrastructures encore très hétérogènes qui sont composées pour moitié de serveurs, routeurs, réseaux et applications internes, et d'une infrastructure, de plateformes et de logiciels hébergés dans le Cloud pour l'autre moitié.
Pour piloter au mieux ses performances IT, la direction informatique cherche, en premier lieu, la meilleure visibilité possible sur toutes les infrastructures afin d'assurer des services de qualité, sûrs, stables et performants.
A l'ère du Saas et du multicloud, Centreon adapte sa plateforme, en tenant compte des évolutions en cours : « Aujourd'hui, nous sommes arrivés à un équilibre au sein des entreprises et chez nos clients, avec des assets informatiques dans les datacenters internes (On-Premise) ou en bordure de l'internet (On Edge), et des assets dans le Cloud, » constate Eryk Markiewicz, Chief Marketing Officer de Centreon.
Né de la supervision de systèmes industriels intégrés pour de grands clients français, l'éditeur parisien préconise un modèle de déploiement capable de s'adapter aux infrastructures hybrides, susceptibles d'évoluer. Depuis une dizaine d'années, Centreon accompagne ce type de grands comptes dans leurs besoins de surveillance de systèmes de plus en plus complexes et hétérogènes. « No IT, no business, dit-on. Nous sommes présents auprès des DSI afin de les aider à démontrer la performance et la valeur de leurs investissements et de leurs équipes, » ajoute-t-il.
Aligner l'IT et les directions métiers
Le plan d'action suggéré par Centreon consiste à minimiser le nombre d'outils de supervision. Il est indispensable de choisir une plateforme évolutive et ouverte pour surveiller l'essentiel du système d'information, et vérifier la plus large visibilité possible sur les types d'équipements à surveiller, ainsi que son intégration parfaite aux systèmes de ticketing ou à l'ITSM (la gestion des services IT). Elle doit aussi permettre la création de vues métiers et le suivi des accords de niveaux de services (SLA). Sa souplesse de déploiement s'avère précieuse : elle pourra ainsi s'installer et s'exécuter sur site quand nécessaire, en hybride avec des extensions dans le cloud, comme pour l'AI et le ML nécessaire pour le monitoring prédictif par exemple, ou encore en mode 100% SaaS pour les clients qui le désirent. Enfin, son TCO doit être optimisé, quelles que soient la taille, l'hétérogénéité et les évolutions futures du SI.
« Parfois, plusieurs modèles de déploiement doivent cohabiter. C'est le cas chez un grand groupe de gestion des risques qui utilise Centreon on-premise pour surveiller le coeur de son infrastructure et déploie notre offre SaaS pour ses environnements les plus distribués ainsi qu'à l'international, » signale Raphaël Chauvel, Chief Product Officer de Centreon.
La plateforme Centreon Cloud dispose d'un composant qui peut être déployé dans les infrastructures clientes pour superviser les réseaux privés. Elle peut aussi directement joindre les APIs des fournisseurs de cloud publics pour obtenir les métriques des services déployés. La découverte, les modèles de supervision et les méthodes d'accès sont continuellement mis à jour et s'adaptent ainsi aux dernières technologies retenues par l'entreprise.
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