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Boeing Black : le téléphone qui se détruit si on tente de le pirater

Nouveau venu dans la famille des smartphones ultra sécurisés, le Boeing Black, à l'instar du Bull Hoox m2, se veut un terminal attractif équipé d'Android.

Publié par La rédaction le | Mis à jour le
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Boeing Black : le téléphone qui se détruit si on tente de le pirater

Un smartphone signé Boeing vient de faire son apparition. Un téléphone mobile conçu par un spécialiste des avions ? C'est dans le cadre de son activité de contractant gouvernemental et militaire que Boeing a mis au point cette machine.

Le Boeing Black se présente sous la forme d'un terminal relativement classique, pourvu d'un écran tactile de 4,3 pouces (540 x 960 points) et du système d'exploitation Android. Aux commandes, une puce ARM cadencée à 1,2 GHz. La compatibilité 4G est de la partie, tout comme la possibilité d'installer deux cartes SIM.

Des caractéristiques suffisamment attractives pour permettre à ce smartphone de ne pas rester au fond d'un tiroir, comme cela est malheureusement trop souvent le cas avec les téléphones ultra-sécurisés.

Android sécurisé et téléphone blindé

Bien entendu, Android a été complètement revisité par Boeing afin de le rendre moins perméable aux attaques. Le châssis est également sécurisé : en cas de tentative d'intrusion physique, les logiciels et données sont automatiquement supprimés de l'appareil, le rendant ainsi totalement inopérant.

On peut présumer enfin que ce smartphone se verra associé à des solutions sur mesure de communication sécurisée. À bien des égards, le Boeing Black ressemble de près au Hoox m2 que Bull avait présenté en fin d'année 2013. Voir à ce propos notre article « Effet Prism : Bull lance le Hoox m2, un smartphone ultra sécurisé ».

Crédit photo : © Bacho - Shutterstock

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