Celeste poursuit ses recrutements
Qui a dit que le secteur des télécoms n'embauchait plus ? Pas Celeste en tout cas. Six mois, à peine, après avoir initié une campagne de recrutements dans la foulée de l'ouverture de son datacenter Marilyn, l'opérateur d'entreprises poursuit ses embauches. Il cherche essentiellement, et en permanence, des profils experts tant techniques que commerciaux, ingénieurs, administrateurs, chefs de projets systèmes et technico-commerciaux en premier lieu (les descriptifs des postes sont disponibles sur cette page).
Une dizaine de postes sont à pourvoir. Ce qui peut paraître peu, mais Celeste avoue souffrir de la pénurie de candidats. « La croissance de Celeste est aujourd'hui limitée par un recrutement toujours trop lent par rapport à nos objectifs, regrette Frédérique Dofing, directrice générale de la société. Les projets sont nombreux, le marché en ébullition. Or, les candidats souhaitent s'orienter vers les grands groupes qui ne recrutent pas ; aujourd'hui ce sont les PME innovantes qui embauchent et offrent des vraies perspectives professionnelles. »
Augmenter la masse salariale de 25 %
Les candidats « prêts à s'engager dans une aventure technologique » et à travailler dans l'Est parisien auront de quoi faire. L'opérateur doit répondre à nombre de projets cette année, notamment en matière de cloud computing et dans le cadre de sa sélection du consortium « nu@ge » pour les projets d'avenir aux côtés d'acteurs comme Oodrive, DotRiver ou encore Non Stop Systems.
Après l'ouverture de son datacenter « vert » à l'automne 2011, Celeste poursuit le déploiement de son réseau très haut débit à travers 25 villes françaises, dont Bordeaux récemment. L'entreprise créée et dirigée par Nicolas Aubé compte plus de 2000 clients. En 2011, la société a augmenté sa masse salariale de 25 % (soit une quarantaine de collaborateurs au total en fin d'année). Elle prévoit la même tendance pour 2012.
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