Recherche

Les prétentions salariales des futurs développeurs aux US

Très recherchés par les recruteurs, les développeurs en devenir affichent des ambitions élevées, mais redoutent l'entretien d'embauche, selon un sondage étudiants de Devpost.

Publié par le | Mis à jour le
Lecture
2 min
  • Imprimer
Les prétentions salariales des futurs développeurs aux US

Le site américain dédié aux développeurs Devpost a interrogé près de 1700 étudiants ayant participé à l'un de ses hackatons au printemps 2016. Aux États-Unis, près de 60 % des répondants prévoient de gagner entre 50 000 et 100 000 dollars par an dès la sortie de l'école (33 % entre 70 000 et 100 000 dollars par an, 25 % entre 50 000 et 70 000 dollars par an).

Moins de 20 % des étudiants interrogés tablent sur un salaire d'entrée inférieur à 50 000 dollars par an dans la programmation. Et plus de 20 % pensent gagner entre 100 000 dollars et plus de 150 000 dollars par an. C'est un montant proche de la rémunération médiane annuelle la plus élevée proposée par les entreprises qui paient le mieux aux États-Unis, selon Glassdoor !

Voeu pieux ?

Dans leur majorité, les développeurs interrogés par Devpost pensent même que leur rémunération va bondir de 40 % en cinq ans. Mais aux États-Unis comme ailleurs, les salaires varient grandement en fonction des technologies et langages de programmation maîtrisés. Joue également la localisation des candidats et des employeurs, employeurs qu'il faudra convaincre lors d'entretiens.

Or les étudiants en informatique ne sont pas des adeptes du processus classique de recrutement. Ils privilégient le bouche à oreille et les événements communautaires dédiés à l'emploi, voire les hackatons. Autant d'occasions privilégiées pour mettre en avant les projets et l'expérience de chacun.

Lire aussi :

Les développeurs heureux au travail bien que mal payés ?
Salaires des développeurs : le grand écart hommes-femmes
Le top des technos utilisées lors de hackatons étudiants

Sur le même thème

Voir tous les articles Business

Livres Blancs #cloud

Voir tous les livres blancs
S'abonner
au magazine
Se connecter
Retour haut de page